Toujours lors de cette journée très riche du 6 octobre sur le thème "le dialogue inter-espèces", nous avons assisté à une table ronde sur le sujet "communiquer avec le végétal" et les intervenants étaient Michèle CHOQUET (canadienne) et Ernst ZURCHER (suisse)
Il serait très difficile de résumer leurs interventions mais elles ont été passionnantes et instructives. Voici les ouvrages dont ils ont fait référence sur ce sujet extraordinaire qui nous relie tous au VIVANT sous quelque forme que cela soit.
Nous devons le livre ci-après à Michèle CHOQUET qui a traduit dans la langue de Molière les travaux de Cleve BACKSTER. Ce dernier a étudié durant 40 ans et jusqu'à son décès : le vivant, la "perception primaire" des plantes.
Violette et Jean-Paul (Trésorier d'accord'âme)
"Ce livre engage le monde universitaire à une profonde réflexion, en particulier les chercheurs en biologie, en médecine et autres sciences du vivant. Puisse la science rejoindre enfin cette conscience qui l'a enfantée et qu'elle a ignoré pour le plus grand malheur de l'humanité." Jacques Collin Les plantes sont-elles en résonance avec l'Homme et le règne du vivant ? SI l' "intelligence collective" se définit comme la capacité de s'adapter à son environnement et d'en tirer profit pour en faire bénéficier la collectivité, les dernières recherches scientifiques prouvent sans conteste que le règne végétal en est pourvu. Cette "neurobiologie végétale" qui n'ose pas encore être ainsi nommée, dans la mesure où les plantes ne possèdent ni neurones ni cerveau, est désormais un domaine de recherche qui touche autant celui de la physique quantique que celui des neurosciences. Dans cet ouvrage, Cleve Backster nous explique le fonctionnement de la "perception primaire" des plantes, cette relation presque affective, cette "énergie pensive" fondée sur des sentiments et des émotions comme l'affection, la bienveillance, l'amour inconditionnel, la beauté et l'harmonie. Il démontre que tout le vivant, incluant l'homme, est relié d'un façon intime et immédiate à la matrice de l'univers. Engagé en 1948 par la CIA comme spécialiste de l'hypnose, Cleve Bakcster y a développé l'usage du polygraphe (détecteur de mensonges). Un jour de 1966, il s'amusa à tester une plante en y branchant un polygraphe, avec l'intention de brûler une feuille. A sa grande surprise, la plante ne réagit pas au moment de l'acte, mais au moment où il avait eu l'intention de le faire. La plante avait lu dans sa pensée ! Pendant plus de quarante ans, Cleve Backster ne cessa d'étudier la "perception primaire" des plantes sur un plan rigoureusement scientifique.
source : https://www.babelio.com
Ernst ZURCHER et son ouvrage "Les arbres entre visible et invisible"